La douceur intérieure

Devant un café, foisonnant une rêverie sans demie mesure, rêvant d'une muse antique. Long rêve d'un être majestueux, aussi sobre que pur. Une nymphe sortie de l'eau, une muse imagianire.

Oh ! Laissez-moi le temps de parler, vous qui êtes véritable, sans arrière pensée. Oh ! Votre pensée est mienne, aussi longtemps que l'image reste. 

Un poète voit la femme comme une créature ancestrale, et inspirante. Une poétesse voit la muse comme son image, autenthique, et aspirante. Touts deux cependant y développent une connivence sans accroche.

Les batailles littéraires d'avant-gardistes, aux yeux de la modernité, se métaphosent en une union symbiotique.

Oh ! Devant le café, une place vide qui attend que l'inspiration fasse son tour dans une imagination rêveuse sans limite. La beauté d'une image fait tourner une expression aux sens multiples, tellement indéfinie à trouver l'intuition.

Un jour, il adviendra que cette douceur, personnifiante et expressive, viendrait dessiner le contour d'un amour inconditionnel, l'amour de soi, l'amour féminine, l'amour féline, l'amour imaginaire. Tant de caractères et de personnalités qui chaque jour en chaque temps, se lancent progressivement dans l'assuance d'une sagesse infinie, s'intitulant "La douceur est la fille de l'amour".

(Image de la muse que j'ai réupérée et qui n'est pas de moi, je ne sais plus qui est l'auteur de l'image, mais je lui dédicace ce petit poème, mais le texte m'appartient).

Pour Yvette Claustre "La douceur est la fille de l'amour." Simon de Blinicourt et tu en es emplie....

Pour Yvette Claustre "La douceur est la fille de l'amour." Simon de Blinicourt et tu en es emplie.... - Claire Nai - Google+